[Arc] Le début d'une nouvelle ère a Ildaria

"
-Non! Pitier! Je ferais ce que vous voul...eurgh!"
Tel furent les dernières paroles du discidient avants que je le décapite et change son crâne en diamant rouge. Et de deux!"
(HS: se référer a mon histoire ou a ma fiche RP pour comprendre ce message)

Puis, j'entras en ville en direction de l'agence immobilière. Sur place, je trouva une magnifique villa hors de prix et décida d'aller a la banque pour emprunter a crédit la somme nécessaire

Une fois l’acquisition de mon chez-moi effectuer, je décidât de visiter la ville.

Sur la place central, une vois ce fit entendre:
-Fils de pute! Tu a tué mon frère!
Je fis volte face, et un homme courrais vers moi, armer d'un couteau. Je reconnut tout de suite l'acolyte de l'homme que j'avais assassiner en arrivent. Ce dernier c'était enfuis en me hurlant de lui laisser la vie sauve.
Je saisis le bras armé de mon agresseur pour le lui tordre et lui faire une clef-de-bras en le clouent au sol. Puis je pointât le couteau sur sa nuque
-Hum... Je devrais te tuer aussi, qu'en pense-tu?
-Pitiez!
-C'est drole, ton ami a eu la même attitude
Je m'approchas de ma victime pour lui murmurer à l'oreille
-...Et sa tête a fini dans ma besace!
-Espèce de...
Je plantât la pointe de l'arme dans la nuque de ma victime, de manière a faire couler une goute de sang, et ce dernier se mit à hurler plus de peur que de douleur

Je m’arrêtât lorsque je me rendit compte que j'avais attirer l'attention et que tout les gens présent sur la place nous observais désormais

Analis se baladait en plein cœur de la capitale d'Ildaria. Vêtue de sa sombre tenue pourpre habituelle, elle marchait discrètement à travers la foule, observant tout ce qui se passait autour d'elle. Et, comme toujours, elle finissait par entendre des discussions d'Ildarians de toute classe dénigrant les Discidiants comme s'ils étaient du simple bétail. Bien plus que de l'agacer, toutes ces petites messes basses l'attristaient. Elle n'arrivait pas à comprendre comment la haine pouvait être si forte envers cette autre nation, que cela vienne des plus jeunes générations ou des plus anciennes. Analis préféra tout de même ignorer les propos de ces concitoyens, comprenant que toute discussion serait purement et tout simplement futile avec ceux-là.
Alors qu'elle continuait tranquillement sa petite balade, elle remarqua un petit mouvement de foule et décida donc de voir ce qui pouvait bien attirer tout ce petit monde. Sa stupeur fut grande lorsqu'elle aperçut la scène.

– Relâchez-le immédiatement ! se mit alors à crier la jeune femme, quoique cet homme ait bien pu vous faire, la mort n'en ait pas la solution ! après avoir constaté que quelques jeunes garçons observaient la scène, la demoiselle ajouta, De plus, ce n'est pas une façon appropriée de se comporter devant de jeunes enfants.

Tandis qu'Analis s'approchait tout doucement de la victime de son bourreau afin d'entamer un dialogue, elle entendit des chuchotements.

– Mais n'est-ce pas un Discidiant ?...
– Si c'est le cas, il mérite bien son cas...
– Cette pauvre fille ne devrait pas interrompre ce brave homme...

Analis, le regard noir rempli de colère, se retourna alors vers celles et ceux qui venaient de prononcer ces mots.

– Mesdames et messieurs, je vous prie de bien vouloir circuler car il n'y a rien à voir, dit-elle poliment malgré que dans son ton, on pouvait déceler comme une petite forme de menace...

J'observais la scène autour de moi: Les gens nous fixais, certain semblais m'admirer, d'autre me craindre, ou me méprisais, d'autre encore avais l'air choqués ou ne comprenais pas vraiment ce qu'il se passais. La plus-part murmurais entre eux. Je remarquas qu'il y avais quelques enfants présent. J’espérais qu'ils ne comprendrais pas.

Soudain, les murmures furent brisé par une vois plus forte que les autre

– Relâchez-le immédiatement !
Une jeune femme se dirigea lentement vers moi, m’ordonnant de relâcher ma victime.

Je leva mon couteau de quelque centimètres, il était près à transpercer sa proie, puis, l'homme tourna la tête vers moi, les yeux emplis de larmes.
Mon regard se posais successivement sur mon couteau, ma victime, la jeune femme, l’assistance, et un groupe d'enfant un peut plus loin.

Finalement, après quelque secondes de réflexions je rendis l'arme à mon ex-agresseur et me redressa en m'adressent à lui:
-Tu peut remercier cette jeune femme de t'avoir sauvé la vie, et remercie également ta folie de m'avoir attaquer sur une place publique, dans une ruelle tu aurais simplement eu la tête coupée!

L'homme s'enfuit sans demander son reste et la foule recommença à circuler, faisant comme si il ne s'était rien passer.
Je m'approchas de la jeune femme et entamas le dialogue:

-Je vous demande de m'excuser pour ce petit incident, pour vous montrer ma bonne foie, je vais même vous donner mon identités: Igaru Ono, chasseur de tête et mercenaire de mon état.
Je cherche le caserne pour m’enrôler dans l'armée mais, libre à vous de me livrer aux autorité si vous préférez.
J'avais prononcé cette approche avec un ton aimable, mais non sans une pointe de provocation.

Maintenant, que je me suis présenter, pourrais-je savoir à qui je m'adresse?
Puis, je compris en voyants sa tenue vestimentaire, et son assurance, qu'elle était peut-être une bourgeoise, ou au moins quelqu'un d'importante en ville. Je m’empressais d'ajouter:
-Pardonnez-moi si vous êtes connue en ville, mais je viens d'arriver.

La jeune femme écouta avec attention chaque mot que prononça l'homme face à elle. La première impression que ce dernier venait de lui donner n'était en aucun cas une bonne... S'en prendre aussi violemment à un autre et de plus, en plein milieu d'une place publique... Analis ne savait pas comment avait bien pu débouter cette altercation et, à vrai dire, ne voulait pas le savoir. Non partisante de la guerre, Analis voulait à tout prix que tout conflit cesse. Et si, elle pouvait réduire tout différent ou toute querelle un peu trop brusque à une simple discussion, la jeune Suna le ferait. Après avoir écouté cet Igaru Ono et pris une discrète inspiration, la jeune demoiselle se présenta calmement à son tour.

- Bonjour, Monsieur Ono et bienvenu dans le centre ville d'Ildaria, je me prénomme Analis Suna mais si vous le souhaitez Analis suffira, dit-elle en faisant une légère révérence, avant de poursuivre en disant, Je vous conduirai bien aux autorités mais vous n'avez commis aucun crime grave. Même si la violence avec laquelle vous avez agi m'irrite, je ne peux, hélas, vous arrêter pour un simple trouble à l'ordre public. De ce fait, si vous désirez toujours aller à la caserne, je vous prie de bien vouloir me suivre car, celle-ci est un peu plus loin, légèrement éloignée du centre ville pour des questions de sécurité.

Analis se retourna à la seconde où elle avait fini sa phrase et se dirigea vers la caserne. La jeune noble n'avait, volontairement, pas précisé son statut. Ne sachant pas clairement à qui elle avait à faire, la jeune femme entama une petite séance d'interrogatoire.

- Je vous prie de bien vouloir m'excuser si je vais paraître indiscrète mais, pouvez-vous m'en dire un peu plus sur vous ?... Je ne pense pas, sans vouloir vous offenser, que ce qui s'est passé un peu plus tôt n'était qu'un simple accident ou juste un malencontreux concours de circonstances... Et puis, votre visage ne me paraît aucun cas familier... Analis dit cette dernière phrase en regardant son interlocuteur.

La jeune femme écouta attentivement l'homme présent derrière elle. À ses mots, elle ne savait dire si cet homme était ignorant ou s'il se contentait juste d'avancer en ligne droite sans se préoccuper des alentours et en écrasant tout obstacle qui pourrait le gêner...

(Je suis bien consciente que le taux de criminalité ait augmenté au cours de ces dernières années... Mais tuer un homme juste parce qu'il avait tenté de vous voler... Ne serait-ce pas un peu trop exagéré ?...)

Analis voulut lui poser cette question mais pressentit qu'importe la réponse que cet Igaru Ono lui donnerait elle n'en serait pas satisfaite ou du moins, n'arriverait pas à en comprendre la logique et décida donc d'oublier cette question. La jeune Suna continua de prêter attention au discours de l'homme qui avait su répondre sans y répondre vraiment à une question de la demoiselle.

(Zut ! Je connais chaque individu qui compose cette ville, je sais donc bien évidemment qu'il est pas d'ici ! Arf ! Pourquoi n'a-t-il pas juste dit d'où il venait ? Un tel sans froid ne s'acquiert pas aussi facilement...)

Analis commençait à être mal à l'aise aux côtés de cet homme. Il dégageait une aura particulière... comme celle de ces chasseurs pouvant tuer une proie sans afficher le moindre sentiment...

– L'entrée de la caserne est juste à ce tournant, dit-elle en se tournant vers son interlocuteur et en lui désignant la rue. Il vous reste encore quelques petits pas à faire mais vous ne pourrez pas rater l'entrée vu son ampleur, la jeune femme marqua une légère pause avant de reprendre, Cela est-il suffisant ou désirez-vous que je vous montre un autre établissement ?

- Bonsoir, que puis-je vous servir ?

-...Une glace à la fraise.

Le barman et ses 2 clients rirent.

- Désoler monsieur, mais c'est pas pour les enfants ici.

- Hum... Sa m'en a tout l'air, surement parce que ce bar sens plus le sang que l'alcool.

Les clients et le barman arrêtent leurs activités.

- Ces temps-ci, des personnes disparaissent tout les soirs dans les environs, ils sont soient morts, soient enfermées quelque part.

Les deux clients me regardèrent d'un air irrité, puis l'un des deux me dit:

- Qu'es-ce qui te prouve que c'est nous ?!

Je le regarde et lui dit:

-D'abord première chose: Comme je l'ai dit, ce bar pue le sang
Deuxièmement: Vous n'allez pas l'air d'être des chics types qui aident autrui.
Et dernièrement: Je voudrais savoir pourquoi, si vous êtes innocent, vous essayez tout d'un coup de me tuer par derrière ?

Puis le deuxième client, qui avait profiter de la diversion de son ami, m'attaqua dans le dos avec un couteau.

-Hum... Restart again. Puis je pointa mon berreta blanc et tira une balle dans sa tête.

Mon assaillant tomba sur le sol... Puis son corps commença à bouger, comme si il luttait contre quelque chose, et puis le cadavre se transforma en un monstre.

-Debout Jésus, c'est l'heure de mourir... Dit-ai je avant de sortir mon deuxième berreta noir et de lui tirer dessus avec les deux armes à feu.

Le cri du monstre est strident, et pendant que son ami mourrais le deuxième commença à s'enfuir.

-Où croit tu aller ? En lui pointant mon fusil vers lui. Puis je lui tire dessus avec une dizaine de balle sur son corps. Le deuxième client tomba sur le sol, les balles lui ont trouées toutes les parties de son corps et du sang rouge s'échappais de son cadavre et de même que pour l'autre.

Puis je rangea mes armes et me dirigerais vers la sortit en marchant. J'écrasa les restes du visage du monstre, puis je dégaina mon épée puis la planta au milieu de la porte.
Le barman, caché derrière celle-ci, tomba sur le sol après que j'ouvrais cette dernière.
Je sortit du bar, puis le barman normalement mort fonça sur moi. Je mis mon épée sur mon épaule, du sang sortais d'une petite blessure qu'il a réussit à me faire en tombant. Je pris mon berreta blanc, lui pointa sur son visage et dit en souriant:

-Jackpot !


- *pense* Bon, allons à la caserne maintenant...

Je sortit de ce bar miteux pour me diriger vers la caserne la plus proche.
En marchant dans la rue, je vis des Ildarians avec leurs arrogance habituel et des nobles qui pour moi ne valaient pas grand chose à mes yeux.

- *pense* J'ai au moins le double de leur âge de toute faisons, donc pas la peine de parler de respect aux aînés *petit rire*
En arrivant devant la caserne, je vis la décoration de la salle principal:
Principalement fais de bois pour le sol, puis pour le plafond, du bois et des pierre. Des grandes poutres étaient rattachées du sol au plafond.
Arrivant devant le comptoir, j'attendis jusqu'à ce qu'une hôtesse en tenue rouge me fasse signe de parler:

- Bonjour, je suis venu pour récolter la prime sur l'affaire des disparues du bar "Poney Frigant".

Puis après un signe de tête, elle me donna une bourse de pièces d'or, il y en avait pour dormir une dizaine de nuit dans un hôtel 2 étoiles et avec de bons repas.
Puis en sortant, je vis une jeune fille qui guidais un jeune homme vers cette caserne.